Le Kiosque
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Re: Le Kiosque
Rugby : «Si on ne rejoue pas, le Stade Français ne sera pas relégué», assure Thomas Lombard
Le directeur général parisien fait un point sur la situation de son club et les perspectives d’avenir. Rien n’est officiel mais, dans tous les cas de figure, le Stade Français, dernier du Top 14, ne devrait pas être relégué.
D'après les différents scénarios envisagés par les groupes de travail de la Ligue nationale de rugby (LNR), le Stade Français, actuel dernier du Top 14, ne devrait pas être relégué. C'est une question d'équité logique, alors que les clubs professionnels sont plongés en plein brouillard, crise de coronavirus oblige. Thomas Lombard, directeur général du club parisien, fait le point sur la situation.
Pouvez-vous nous confirmer qu'il y a un consensus des clubs professionnels pour qu'il n'y ait pas de relégation à l'issue de cette saison de Top 14 ?
THOMAS LOMBARD. Il y a effectivement un accord possible s'il y a dans le même temps deux accessions de Pro D2 et donc une évolution du championnat avec 16 équipes. Cela ferait deux dates supplémentaires pour chaque club.
C'est la solution que vous préconisez ?
Oui, parce que c'est tout simplement impossible de changer les règles d'une compétition en cours de route. Il nous reste 9 matchs sur 26 à disputer, dont 6 à domicile. Il faut respecter l'équité, pour tout le monde. C'est vital d'un point de vue économique, les clubs vont être fortement impactés. Il y a deux scénarios actuellement étudiés. Le premier est un décalage de la saison, qui nous permettrait de terminer le championnat du haut de tableau avec une phase finale et ainsi couronner un club. Dans la deuxième hypothèse, on ne peut pas rejouer.
Quel est l'impact financier pour un club comme le Stade Français ?
On a encore trop peu d'éléments pour mesurer précisément l'impact de ce qui se passe. Mais, pour vous donner une idée, un match à domicile, c'est 500 000 euros de bénéfices. Si on ne rejoue pas cette saison, ce sera 3 millions d'euros de pertes… Il faut ajouter à cela les engagements avec les partenaires, les remboursements des abonnements.
Si le championnat ne reprenait pas et si le Stade Français était relégué, le club serait-il en danger?
(Ferme) Il faut que ce soit bien clair : le Stade Français ne sera pas relégué si on ne rejoue pas. Et si le championnat reprend, il doit absolument respecter les règles d'équité.
Un joueur de votre équipe espoirs a été testé positif au coronavirus. Comment va-t-il ?
Il va bien. Il n'a pas de symptôme particulier. Mais comme le veut la réglementation, tous les joueurs ont été placés en quarantaine, ce qui est beaucoup plus contraignant que le confinement. Nous restons en contact. Il y a une veille permanente du médecin et des entraîneurs.
Les joueurs étrangers sont-ils repartis dans leur pays ?
Non, tout le monde est resté à Paris.
leparisien.fr
Le directeur général parisien fait un point sur la situation de son club et les perspectives d’avenir. Rien n’est officiel mais, dans tous les cas de figure, le Stade Français, dernier du Top 14, ne devrait pas être relégué.
D'après les différents scénarios envisagés par les groupes de travail de la Ligue nationale de rugby (LNR), le Stade Français, actuel dernier du Top 14, ne devrait pas être relégué. C'est une question d'équité logique, alors que les clubs professionnels sont plongés en plein brouillard, crise de coronavirus oblige. Thomas Lombard, directeur général du club parisien, fait le point sur la situation.
Pouvez-vous nous confirmer qu'il y a un consensus des clubs professionnels pour qu'il n'y ait pas de relégation à l'issue de cette saison de Top 14 ?
THOMAS LOMBARD. Il y a effectivement un accord possible s'il y a dans le même temps deux accessions de Pro D2 et donc une évolution du championnat avec 16 équipes. Cela ferait deux dates supplémentaires pour chaque club.
C'est la solution que vous préconisez ?
Oui, parce que c'est tout simplement impossible de changer les règles d'une compétition en cours de route. Il nous reste 9 matchs sur 26 à disputer, dont 6 à domicile. Il faut respecter l'équité, pour tout le monde. C'est vital d'un point de vue économique, les clubs vont être fortement impactés. Il y a deux scénarios actuellement étudiés. Le premier est un décalage de la saison, qui nous permettrait de terminer le championnat du haut de tableau avec une phase finale et ainsi couronner un club. Dans la deuxième hypothèse, on ne peut pas rejouer.
Quel est l'impact financier pour un club comme le Stade Français ?
On a encore trop peu d'éléments pour mesurer précisément l'impact de ce qui se passe. Mais, pour vous donner une idée, un match à domicile, c'est 500 000 euros de bénéfices. Si on ne rejoue pas cette saison, ce sera 3 millions d'euros de pertes… Il faut ajouter à cela les engagements avec les partenaires, les remboursements des abonnements.
Si le championnat ne reprenait pas et si le Stade Français était relégué, le club serait-il en danger?
(Ferme) Il faut que ce soit bien clair : le Stade Français ne sera pas relégué si on ne rejoue pas. Et si le championnat reprend, il doit absolument respecter les règles d'équité.
Un joueur de votre équipe espoirs a été testé positif au coronavirus. Comment va-t-il ?
Il va bien. Il n'a pas de symptôme particulier. Mais comme le veut la réglementation, tous les joueurs ont été placés en quarantaine, ce qui est beaucoup plus contraignant que le confinement. Nous restons en contact. Il y a une veille permanente du médecin et des entraîneurs.
Les joueurs étrangers sont-ils repartis dans leur pays ?
Non, tout le monde est resté à Paris.
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L’union sacrée, la vraie
L'édito de Léo Faure... Combien de fois avons-nous écrit ceci ? Que l’intérêt supérieur du rugby français, dont tous ses dirigeants se prévalent, ne vaut finalement jamais grand-chose face aux appétits individuels. Ou alors pas longtemps. Que les crises, aussi glaçantes soient-elles, n’ont été suivies que d’alliances éphémères et intéressées. C’est ça, l’union sacrée, la vraie. Une entente de verre.
Un peu d’histoire : c’est au lendemain du déclenchement de la grande guerre que Raymond Poincaré, président de la République française d’alors, remettait au goût du jour ce concept d’union sacrée né durant la révolution française. L’idée était finalement simple, basique, empruntant à la seule croyance qu’il existe un intérêt supérieur de la nation. Face à une menace jugée suprême, tous les courants, tous les corps de représentation politique et syndicale, tout un pays convenaient d’une entente unanime de circonstance. Une cause commune transcendant toutes les divergences, pour traiter l’urgence.
Sur le papier, ça en jette. Dans les faits, les déclarations de bonnes intentions voient rarement le soleil du lendemain et la belle communion, si prompte à se fissurer, laisse à nouveau jour à des désaccords plus tenaces encore.
Fin de la parenthèse historique. Et retour à notre quotidien, celui du rugby où, comme ailleurs dans la société, l’intérêt commun et suprême n’est qu’un mot vain. Ce mercredi, donc, les présidents du rugby professionnel français se retrouvaient en conclave, pour évoquer une nouvelle fois la fin du championnat, aujourd’hui si incertaine.
À propos de ces réunions qui s’enchaînent, un interlocuteur nous engageait en début de semaine : "Par pitié, ne les laissez pas jouer les égoïstes ! Ils doivent remettre le SPORT au centre du terrain, pas leurs préoccupations personnelles et notamment financières." Raté ! Sans qu’on y puisse franchement grand-chose, les présidents du rugby professionnel français, principalement ceux du Top 14 qui ont le plus à perdre dans l’affaire, ont passé la soirée de mercredi à s’écharper sur à peu près tout. Et son contraire. Drôle de spectacle, fort heureusement à huis clos.
Une vraie union sacrée, donc. Comprenez "de façade". Derrière laquelle chacun défend un intérêt "pour le bien de tous" mais qui colle étrangement à ses besoins individuels.
À Pau, Paris, Agen et ailleurs dans le fond du tableau, il semble urgent d’annuler purement et simplement le championnat. Pour repartir avec les mêmes et - par hasard ! - de maintenir tout le monde.
À Montpellier, qui voyait s’éloigner les phases finales, on propose justement d’élargir les phases finales, quitte à les décréter dès maintenant ! Pratique, pour qui n’est pas encore qualifié… Mais Bordeaux, qui aurait applaudi cette solution les quatre dernières années - quand l’UBB stagnait sous la ligne de flottaison - argue désormais que cela ne suffit pas. Qu’il faudrait jouer la fin de saison coûte que coûte, certes, mais aussi maintenir les privilèges de qualification directe aux deux premiers. Qui est premier ? Bordeaux, pardi ! Prévisible, tellement.
Dans cette macédoine d’ego et de gros sous, on se réjouira au moins d’une chose : les présidents de club s’accorderont bientôt pour laisser aux joueurs quatre semaines pleines de préparation avant de reprendre le chemin de la compétition. Un peu de bon sens, enfin. Le seul moment où le sport est revenu au centre du terrain.
L’union sacrée, la vraie
L'édito de Léo Faure... Combien de fois avons-nous écrit ceci ? Que l’intérêt supérieur du rugby français, dont tous ses dirigeants se prévalent, ne vaut finalement jamais grand-chose face aux appétits individuels. Ou alors pas longtemps. Que les crises, aussi glaçantes soient-elles, n’ont été suivies que d’alliances éphémères et intéressées. C’est ça, l’union sacrée, la vraie. Une entente de verre.
Un peu d’histoire : c’est au lendemain du déclenchement de la grande guerre que Raymond Poincaré, président de la République française d’alors, remettait au goût du jour ce concept d’union sacrée né durant la révolution française. L’idée était finalement simple, basique, empruntant à la seule croyance qu’il existe un intérêt supérieur de la nation. Face à une menace jugée suprême, tous les courants, tous les corps de représentation politique et syndicale, tout un pays convenaient d’une entente unanime de circonstance. Une cause commune transcendant toutes les divergences, pour traiter l’urgence.
Sur le papier, ça en jette. Dans les faits, les déclarations de bonnes intentions voient rarement le soleil du lendemain et la belle communion, si prompte à se fissurer, laisse à nouveau jour à des désaccords plus tenaces encore.
Fin de la parenthèse historique. Et retour à notre quotidien, celui du rugby où, comme ailleurs dans la société, l’intérêt commun et suprême n’est qu’un mot vain. Ce mercredi, donc, les présidents du rugby professionnel français se retrouvaient en conclave, pour évoquer une nouvelle fois la fin du championnat, aujourd’hui si incertaine.
À propos de ces réunions qui s’enchaînent, un interlocuteur nous engageait en début de semaine : "Par pitié, ne les laissez pas jouer les égoïstes ! Ils doivent remettre le SPORT au centre du terrain, pas leurs préoccupations personnelles et notamment financières." Raté ! Sans qu’on y puisse franchement grand-chose, les présidents du rugby professionnel français, principalement ceux du Top 14 qui ont le plus à perdre dans l’affaire, ont passé la soirée de mercredi à s’écharper sur à peu près tout. Et son contraire. Drôle de spectacle, fort heureusement à huis clos.
Une vraie union sacrée, donc. Comprenez "de façade". Derrière laquelle chacun défend un intérêt "pour le bien de tous" mais qui colle étrangement à ses besoins individuels.
À Pau, Paris, Agen et ailleurs dans le fond du tableau, il semble urgent d’annuler purement et simplement le championnat. Pour repartir avec les mêmes et - par hasard ! - de maintenir tout le monde.
À Montpellier, qui voyait s’éloigner les phases finales, on propose justement d’élargir les phases finales, quitte à les décréter dès maintenant ! Pratique, pour qui n’est pas encore qualifié… Mais Bordeaux, qui aurait applaudi cette solution les quatre dernières années - quand l’UBB stagnait sous la ligne de flottaison - argue désormais que cela ne suffit pas. Qu’il faudrait jouer la fin de saison coûte que coûte, certes, mais aussi maintenir les privilèges de qualification directe aux deux premiers. Qui est premier ? Bordeaux, pardi ! Prévisible, tellement.
Dans cette macédoine d’ego et de gros sous, on se réjouira au moins d’une chose : les présidents de club s’accorderont bientôt pour laisser aux joueurs quatre semaines pleines de préparation avant de reprendre le chemin de la compétition. Un peu de bon sens, enfin. Le seul moment où le sport est revenu au centre du terrain.
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Gonzalo Quesada n’entraînera pas le Stade Français
Alors que les rumeurs envoyaient Gonzalo Quesada sur le banc du Stade Français dès l’été prochain, ce ne sera finalement pas le cas. Le coach argentin intéressait effectivement le club par lequel il est passé entre 2013 et 2017, et avec lequel il a glané le titre de champion de France 2015. Mais l’ancien ouvreur de 45 ans va honorer son contrat actuel avec les Jaguares de Buenos Aires, qui se termine à l’été 2021. Selon les informations de RMC Sport, le club du milliardaire allemand Hans-Peter Wild vise désormais un manager français, avec de l’expérience, pour remplacer Julien Arias et Laurent Sempéré la saison prochaine.
Gonzalo Quesada n’entraînera pas le Stade Français
Alors que les rumeurs envoyaient Gonzalo Quesada sur le banc du Stade Français dès l’été prochain, ce ne sera finalement pas le cas. Le coach argentin intéressait effectivement le club par lequel il est passé entre 2013 et 2017, et avec lequel il a glané le titre de champion de France 2015. Mais l’ancien ouvreur de 45 ans va honorer son contrat actuel avec les Jaguares de Buenos Aires, qui se termine à l’été 2021. Selon les informations de RMC Sport, le club du milliardaire allemand Hans-Peter Wild vise désormais un manager français, avec de l’expérience, pour remplacer Julien Arias et Laurent Sempéré la saison prochaine.
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Info RMC SPORT-Un temps pressenti au Stade Français, Gonzalo Quesada ne reviendra finalement pas l’été prochain. Le technicien argentin va rester au pays et le club parisien souhaiterait désormais recruter un manager français expérimenté.
Gonzalo Quesada ne reviendra pas au Stade Français la saison prochaine. Entraineur en chef des Jaguares, finalistes du Super Rugby en juillet dernier, le technicien argentin intéressait le club parisien voilà quelques mois.
Ce n’est aujourd'hui plus le cas. Selon les informations de RMC Sport, les discussions sont bel et bien terminées et la piste a été abandonnée depuis plusieurs semaines.
Quesada honorera son contrat avec les Jaguares
Gonzalo Quesada a passé quatre ans au Stade Français, de 2013 à 2017 avec notamment un titre de champion de France en 2015. Mais l’ancien ouvreur international des Pumas (38 sélections) se trouve sous contrat jusqu’en juillet 2021 et il honorera sa dernière année dans le Super Rugby, actuellement arrêté en raison de l’épidémie de coronavirus.
Le Stade Français cherche un manager d'expérience
Le club du milliardaire allemand Hans-Peter Wild aimerait désormais s’attacher les services d’un manager français pour la saison prochaine. Mais qui? Peu de techniciens de renom seront libre l’été prochain mais plusieurs pistes sont malgré tout étudiées.
Le profil recherché serait celui d’un technicien expérimenté. Pour le moment, le club parisien n’a pas encore trouvé la perle rare. Et si ce n’est pas le cas, le Stade Français pourrait conserver le même fonctionnement avec Julien Arias et Laurent Sempéré, promus depuis l’éviction d’Heyneke Meyer au mois de novembre, tout en y ajoutant de nouvelles compétences.
Gérer au mieux la crise liée au coronavirus
Dans l’immédiat, le club dirigé par Thomas Lombard doit, comme les autres formations de l’élite, d’abord tenter de gérer au mieux la crise liée au coronavirus.
Le Top 14 est à l’arrêt jusqu'à nouvel ordre et le Stade Français, dernier après les dix-sept premières journées disputées, est dans le flou. Cela n’aide évidemment pas à préparer sereinement la saison prochaine aussi bien pour éventuellement remodeler l’effectif que le staff.
Info RMC SPORT-Un temps pressenti au Stade Français, Gonzalo Quesada ne reviendra finalement pas l’été prochain. Le technicien argentin va rester au pays et le club parisien souhaiterait désormais recruter un manager français expérimenté.
Gonzalo Quesada ne reviendra pas au Stade Français la saison prochaine. Entraineur en chef des Jaguares, finalistes du Super Rugby en juillet dernier, le technicien argentin intéressait le club parisien voilà quelques mois.
Ce n’est aujourd'hui plus le cas. Selon les informations de RMC Sport, les discussions sont bel et bien terminées et la piste a été abandonnée depuis plusieurs semaines.
Quesada honorera son contrat avec les Jaguares
Gonzalo Quesada a passé quatre ans au Stade Français, de 2013 à 2017 avec notamment un titre de champion de France en 2015. Mais l’ancien ouvreur international des Pumas (38 sélections) se trouve sous contrat jusqu’en juillet 2021 et il honorera sa dernière année dans le Super Rugby, actuellement arrêté en raison de l’épidémie de coronavirus.
Le Stade Français cherche un manager d'expérience
Le club du milliardaire allemand Hans-Peter Wild aimerait désormais s’attacher les services d’un manager français pour la saison prochaine. Mais qui? Peu de techniciens de renom seront libre l’été prochain mais plusieurs pistes sont malgré tout étudiées.
Le profil recherché serait celui d’un technicien expérimenté. Pour le moment, le club parisien n’a pas encore trouvé la perle rare. Et si ce n’est pas le cas, le Stade Français pourrait conserver le même fonctionnement avec Julien Arias et Laurent Sempéré, promus depuis l’éviction d’Heyneke Meyer au mois de novembre, tout en y ajoutant de nouvelles compétences.
Gérer au mieux la crise liée au coronavirus
Dans l’immédiat, le club dirigé par Thomas Lombard doit, comme les autres formations de l’élite, d’abord tenter de gérer au mieux la crise liée au coronavirus.
Le Top 14 est à l’arrêt jusqu'à nouvel ordre et le Stade Français, dernier après les dix-sept premières journées disputées, est dans le flou. Cela n’aide évidemment pas à préparer sereinement la saison prochaine aussi bien pour éventuellement remodeler l’effectif que le staff.
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