Le comptoir - sur le zing - Les échanges - fourre tout

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Pro D2 - Jean-Baptiste Aldigé et Louis-Vincent Gave vont quitter le Biarritz olympique

Le Biarritz olympique va perdre son propriétaire Louis-Vincent Gave, et son président Jean-Baptiste Aldigé. Les dirigeants du club basque sont prêts à céder le club dès maintenant pour un euro.

Nous indiquions sur ce site que Jean-Baptiste Aldigé se donnait le mois de février pour décider de son avenir à la tête du club, après le refus du projet de stade à Saint-Sébastien par les dirigeants espagnols. Il semblerait que cela soit chose faite. Selon les informations de nos confrères de Sud Ouest, le président, ainsi que le propriétaire Louis-Vincent Gave sont sur le point de quitter le Biarritz Olympique. Le premier cité en a déjà informé la maire de Biarritz Maider Arosteguy.



Le club est donc à vendre pour un euro. En l'absence de repreneur, il y aurait une liquidation du Biarritz olympique en fin de saison. Avant ça, l'urgence existe puisque la trésorerie de la structure professionnelle n'est pas suffisante pour tenir jusqu'en juin. Pour rappel, le chiffre d'affaires est évalué à 4,5 millions d'euros, la contribution municipale à 1,5 million, et 3 millions sont injectés par Louis-Vincent Gave.

Du côté des joueurs, l'inquiétude règne depuis plusieurs semaines, mais ils répétent vouloir rester concentrés sur ce qu'ils peuvent maîtriser, à savoir le terrain, afin d'essayer d'accrocher un maintien en fin de saison. Ils n'ont eu, à ce jour, aucune communication officielle de la part des dirigeants du club. Il est important de noter que jusqu'ici, tous les salaires ont été payés selon nos informations.


Jean-Baptiste Aldigé, président du secteur pro, et Serge Blanco, président du secteur amateur du club.Jean-Baptiste Aldigé, président du secteur pro, et Serge Blanco, président du secteur amateur du club. Icon Sport
Président de l'association du Biarritz olympique, Serge Blanco est annoncé actif en coulisses dans l'espoir de trouver un repreneur. Mais joint par nos soins, mardi après-midi, l'ancien international a démenti travailler sur un projet de reprise.

Côté sportif, le BO pointe à l'avant-dernière place du classement, et est donc barragiste. Ce vendredi à 21 heures, les hommes de Matthew Clarkin reçoivent le leader Vannes.

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LA Sevens - Dupont : "Quand je me suis engagé dans ce projet, c’était pour aller chercher une médaille de cette couleur"

Depuis la pelouse du Dignity Health Sports Park de Los Angeles, Antoine Dupont s'est confié sur l'émotion de ce premier titre à VII, sur la valeur de ce groupe qu'il a découvert, sur ses sensations au fil de la quinzaine ou encore sur les ambitions olympiques qui ne font que grandir. Médaille d'or au cou et sourire aux lèvres, l'international à VII et à XV était un compétiteur comblé ce dimanche.

Que représente la médaille d’or que vous avez autour du cou ?


Je suis hyper content et fier de l’équipe même si ce n’était que mon deuxième tournoi. Je sais que les gars cravachent depuis un moment et qu’ils avaient joué plusieurs finales. Il manquait ce titre. Il était attendu depuis un moment pour valider le travail qui avait été fait et gagner en confiance à l’approche des échéances qui arrivent cet été.

On a senti de la maîtrise de la part de l’équipe lors de la finale…

Nous savions que la Grande-Bretagne avait eu un parcours compliqué avec beaucoup de blessés et peu de remplaçants. On se doutait que l’on aurait plus de fraîcheur sur la deuxième mi-temps. Ça s’est vu dès le début, nous avons bien maîtrisé même si on n’avait pas le ballon. L’équipe ne s’est pas mise à la faute ni pris d’essai. Personne ne s’est affolé et nous avons marqué dès que l’on a eu des possessions.


Les Bleus ont célébré leur première médaille d'or depuis 2005.Les Bleus ont célébré leur première médaille d'or depuis 2005. World Rugby
Avez-vous eu un rôle dans l’approche de l’événement ?

Mon rôle est celui d’un joueur de l’équipe. En plus, je suis en apprentissage, je ne vais pas faire de grands discours alors que ce n’est que mon deuxième tournoi. Ce sont des athlètes et des joueurs de haut niveau qui se préparent pour ces échéances. J’ai senti beaucoup de décontraction, d’envie et de motivation pour repartir avec cette médaille d’or. C’était un objectif fort pour le groupe. Ça fait un moment qu’il courait après.

Physiquement, on vous a vu aller au bout de vous-mêmes en quart et en demie. Pouvez-vous nous raconter ?

Le quart et la demie ont été très durs. En quart, avec le rouge, il a fallu qu’on tienne la possession et tout le monde est allé puiser dans ses retranchements. Sur la demie, j’ai eu deux sprints sur mes deux premières actions qui ont compliqué ma première mi-temps (rire). C’est aussi ça le VII. Ce sport est incroyable. La capacité physique a énormément d’impact, tout comme la capacité à ne pas lâcher. On l’a vu contre l’Irlande lorsque l’on rattrape le dernier mec, ce qui les fait marquer en coin et les amène à manquer la transformation.


Vous avez découvert cette équipe et ne devez pas être déçu de ce que vous avez vu, non ?

Quand je me suis engagé dans ce projet olympique, c’était pour aller chercher une médaille, évidemment de cette couleur. Je savais que les mecs en étaient capables. Ça fait plusieurs saisons qu’ils progressent et que, lorsqu’ils sont leur meilleur niveau, ils sont capables de battre toutes les nations. Je savais qu’il y avait ce potentiel-là. L’histoire tourne pour nous.

Personnellement, quel bilan tirez-vous de cette première expérience ?

Je ne savais pas dans quoi je m’engageais en enchaînant deux tournois, surtout avec les trois matchs du samedi avec le lever à 6 heures et le retour à 21h30. Ce sont des journées très raides. J’ai pu me tester dans toutes les conditions, jouer de très gros matchs, avoir du temps de jeu. Et maintenant, je vais avoir une bonne semaine pour me reposer (sourire).

Humainement, que retirez-vous ?

J’ai été super bien accueilli au sein d’un groupe qui vit très bien. On sent vraiment qu’ils s’aiment, ça se ressent dans la vie de tous les jours. Il y a une bonne ambiance, ça déconne, ça rigole. Mais dès qu’on est sur le terrain, tout le monde est hyper concentré.

Quelle valeur accordez-vous à ce titre ?

C’est super fort mais ce n’est que mon deuxième tournoi. Je me doute que c’est bien plus fort pour Paulin ou Steph qui sont là depuis des années. Quand on voit la difficulté des tournois, il faut vraiment arriver à savourer quand ça marche et profiter de ces moments rares.

Le grand public fera peut-être ce raccourci : Dupont arrive, le VII gagne...

Peut-être que les gens vont dire ça mais c’est plus un concours de circonstances. L’an dernier, l’équipe a terminé 4e au général et je n’étais pas là. À Perth (fin janvier), ils avaient mis 30 points aux Blacks en poule. Ils sont capables de battre n’importe quelle équipe mais aussi d’être bons dans la durée, d’être consistants. Dans l’enchaînement des matchs, c’est ce qu’on a réalisé en réalisant déjà un très bon tournoi à Perth.

On vous reverra donc à Madrid, fin mai-début juin, sous ce maillot. Comment allez-vous gérer les deux mois à venir ?

Comme je l’ai fait depuis la fin de la Coupe du monde et jusqu’à mon premier stage avec le groupe. J’ai un échange hebdomadaire avec Jérôme Daret et le préparateur physique pour avoir des compléments et rester dans le rythme. J’aurai aussi une période de stage avant Madrid pour une semaine complète. Maintenant que j’ai beaucoup plus d’automatismes et de réflexes, ce sera beaucoup plus facile.

L’attente autour du groupe en vue des JO ne va faire qu’augmenter, vous vous en doutez...

Ce groupe est très ambitieux et a envie de se donner les moyens de remporter cette médaille cet été. On est tous dans cette optique-là à cravacher. Nous voulons faire quelque chose de grand.

6 Nations 2024 - Composition du XV de France face au pays de Galles : Fabien Galthié brouille les cartes

Pour la toute première fois de son mandat, Fabien Galthié n’a pas, sur l’entraînement du jour, donné la moindre indication quant à la composition d’équipe qui démarrera dimanche après-midi, au Pays de Galles.

Pour tout dire, l’entraînement du jour était particulièrement attendu par tous les suiveurs que compte le XV de France lorsque celui-ci séjourne à Marcoussis. Et passé la déception engendrée par le match nul face aux Italiens, il y a dix jours à Lille (13-13), Fabien Galthié et son staff allaient-ils oui ou non insuffler du sang frais dans une équipe en ayant semble-t-il grand besoin, depuis quelques semaines ?

Au crépuscule de cette séance musclée, on n’en sait malheureusement guère plus et au jeu des chasubles, il était mardi après-midi impossible de lire clairement les intentions du sélectionneur national en vue de la rencontre de dimanche après-midi, face au pays de Galles.

Il veut tenir ses joueurs sous pression
Pourquoi Galthié a-t-il soudainement décidé brouiller les cartes ? Disons que le procédé ne lui ressemble pas et depuis quatre ans, le patron sportif des Bleus avait ainsi toujours fait s’entraîner son équipe type dès le début de semaine, sans faire mystère de ses intentions.


On peut donc déduire diverses choses de cette première journée d’entraînement : ou le sélectionneur national n’a pas encore défini les grandes lignes de sa composition d’équipe, ou alors il veut tenir sous pression ses hommes le plus longtemps possible, avant de les lâcher dans l'arène de Cardiff.


Pour rappel, les incertitudes majeures concernent aujourd’hui les postes d’arrière, où Léo Barré, Matthis Lebel et Louis Bielle-Biarrey sont en concurrence, de deuxième ligne, où Posolo Tuilagi (celui-ci était ménagé d'entraînement mardi après-midi), Emmanuel Meafou, Thibaud Flament, Cameron Woki et Romain Taofifenua luttent pour quatre places, et celle de trois-quarts centre, où Nicolas Depoortère, Yoram Moefana et Emilien Gailleton sont toujours en balance. Au vrai, la séance de demain devrait en dire plus sur les intentions tricolores, en vue du déplacement à Cardiff.

RR

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France moins 18 ans : La composition pour l’Angleterre

L’encadrement tricolore a dévoilé la composition de l’équipe qui affrontera l’Angleterre en match de préparation au Festival des Six Nations, le 09 mars à Châlon-sur-Saône.

COUTURIER Liam (ABCD XV)
TIA Ethan (Stade Français)
PARGADE Ruben-Diego (CABBG)
MARTIN BONNARD Roméo (Stade Toulousain)
MICHAUX Léo (AS Montferrand)
MARZULLO Marceau (Stade Toulousain)
PAUL Clément (Stado Tarbes PR)
IBSAIENE Ellyjah (CABBG) (cap)
ELLISALDE Gabriel (Biarritz Olympique)
JURD Diego (Stade Rochelais)
MIGNOT Charly (Lyon OU)
RASAL Bastien (Aviron Bayonnais)
DRAULT Adrien (CABBG)
RATES Melvyn (FC Grenoble)
LEVEQUE Tom (Aviron Bayonnais)
ALGAY Quentin (CA Brive Corrèze)
JEAN CHRISTOPHE Samuel (RC Toulon)
ALIFANETY Lenny (CABBG)
LANEN Rémy (AS Montferrand)
LAMATAKI Danny Kevin (SU Agen)
ANDJISSERAMATCHI Lucas (RC Massy Essonne)
TILLOLES Baptiste (Aviron Bayonnais)
KELETAONA Luka (CA Brive Corrèze)
BOULAN Rémi (SU Agen)
VALENTINO Quentin (Stade Niçois)
LACOSTE Gabin (CA Brive Corrèze)

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Tournoi des Six Nations 2024 : Joueurs mis à disposition des clubs

Dans le cadre de la convention entre la FFR et la LNR pour la mise à disposition des joueurs des clubs professionnels pour le Tournoi des Six Nations 2024, six joueurs du XV de France sont mis à disposition de leur club dès aujourd’hui

BARASSI Pierre-Louis (Stade Toulousain)
GAILLETON Emilien (Section Paloise)
HASTOY Antoine (Stade Rochelais)
PRISO Dany (RC Toulon)
TUILAGI Posolo (USA Perpignan)
WOKI Cameron (Racing 92)

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6 Nations 2024 - Antoine Frisch parmi le groupe des 34 joueurs du XV de France convoqués pour le match contre l'Angleterre

Le XV de France a communiqué son groupe de 34 joueurs convoqués pour le dernier match du Tournoi des 6 Nations, face à l'Angleterre. Le groupe ne comporte qu'un changement par rapport à celui avant le pays de Galles : le centre du Munster Antoine Frisch (27 ans) remplace Pierre-Louis Barassi.

Il n'y a qu'une petite surprise dans le groupe du XV de France qui s'apprête à préparer le dernier match du Tournoi des 6 Nations, face à l'Angleterre. Peu après la brillante victoire des Bleus contre le pays de Galles au Millenium de Cardiff, France Rugby a communiqué les noms des 34 joueurs qui seront présents à Marcoussis en début de semaine pour s'entraîner en vue du Crunch. Le seul changement intervient au centre : blessé à la cheville, Pierre-Louis Barassi est remplacé par Antoine Frisch. Une surprise, puisque le centre du Munster a déjà participé à des stages avec l'Irlande A en 2022.


Convoqué avec l'Irlande A en 2022
Sa grand-mère maternelle étant Irlandaise (Dublinoise), Fisch pouvait légitimement postuler avec le XV du Trèfle mais alors que tout portait à croire que l'ancien joueur de Rouen avait donné sa préférence à l'Irlande, il portera les couleurs du XV de France en début de semaine. À 27 ans, Frisch est un centre qui est largement capable de dépanner à l'ouverture. Son profil de cinq-huitième, beaucoup plus populaire outre-manche, peut-être une arme supplémentaire pour Fabien Galthié, toujours en recherche de polyvalence.



En plus de Frisch, cinq joueurs qui avaient été relâchés en milieu de semaine dernière réintègrent le groupe France : Cameron Woki, Emilien Gailleton, Antoine Hastoy, Dany Priso et Posolo Tuilagi.

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Les Stades des finales !
Les stades de Chambéry et de Bourgoin ont été retenus pour accueillir la finale de Nationale et la journée des finales féminines de la saison 2023 – 2024.
Finale Nationale

C’est dans le stade flambant neuf du Chambéry Savoie Stadium, inauguré en septembre dernier, que se tiendra la finale de Nationale en date du samedi 18 mai 2024. Un match d’une importance extrême du fait que pour la première fois le vainqueur de cette finale accèdera directement à la PRO D2 pour la saison 2024/2025. Le Stade Olympique Chambérien Rugby Savoie Mont-Blanc, engagé dans la division, s’est porté candidat et a été désigné comme organisateur, de ce match historique.

Xabi ETCHEVERRY (vice-président en charge du rugby amateur) : « Nous sommes heureux de pouvoir annoncer la sélection du stade de Chambéry pour accueillir la finale de Nationale. Cet évènement sera l’occasion de découvrir ce nouvel outil dans un territoire marqué d’une forte culture rugby. Nous avons déjà hâtes d’y être pour vivre cette rencontre avec une ambiance qui sera à n’en pas douter à la hauteur de l’enjeu de ce match. »

Finales féminines
La Journée des Finales Féminines se déroulera, quant à elle, dans un lieu mythique du rugby, à savoir le Stade Pierre Rajon à Bourgoin. Le CS Bourgoin-Jallieu accueillera le samedi 8 juin 2024 quatorze équipes qui se disputeront les sept titres de Champions de France de leur catégorie lors d’une journée consacrée exclusivement au rugby féminin.

Les catégories concernées sont :

Elite 1 Féminine
Réserves Elite
Elite 2 Féminine
Fédérale 1 Féminine
Fédérale 2 Féminine
Féminines « Moins de 18 ans » à XV – Elite
Féminines « Moins de 18 ans » à XV – Accession

Brigitte JUGLA (vice-présidente en charge du rugby féminin) : « La FFR est heureuse d’annoncer le stade des finales féminines dans une terre du Rugby à Bourgoin Jallieu. Moment tant attendu par tous et toutes, puisque cela conclut une fin de la saison, où l’objectif est de conquérir le graal. Soit 7 titres de championne de France, où le nom du club est gravé à jamais sur le bouclier, qui seront la fierté des joueuses, des staffs, du club, des supporters, de la ville, de la région. Rassemblées sous la bannière « Rugby pour Elles, Plus fortes ensemble », ces finales montreront, une nouvelle fois, l’évolution constante du développement du rugby féminin et l’engouement pour cette pratique. Les clubs finalistes, leurs supporters, seront, je l’espère, au rendez-vous pour nous offrir une journée exceptionnelle. »

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Tournoi des Six Nations 2024 : Joueurs mis à disposition des clubs

Dans le cadre de la convention entre la FFR et la LNR pour la mise à disposition des joueurs des clubs professionnels pour le Tournoi des Six Nations 2024, six joueurs du XV de France sont mis à disposition de leur club dès aujourd’hui

Antoine FRISCH (Musnter)
Emilien GAILLETON (Section Paloise)
Antoine HASTOY (Stade Rochelais)
Dany PRISO (RC Toulon)
Posolo TUILAGI (USA Perpignan)
Cameron WOKI (Racing 92)

Louis Foursans (Montpellier) plaît au Stade Français

Où jouera Louis Foursans la saison prochaine ? Comme indiqué le 22 février, le numéro 10 de 22 ans a été invité à trouver un nouveau club par les dirigeants de Montpellier. Il est pourtant sous contrat jusqu'en 2025 au MHR où il évolue depuis le début de sa carrière professionnelle après avoir fait ses premiers pas à Nîmes.

Plusieurs clubs de Pro D2 se sont positionnés dont Aurillac, qui va enregistrer le départ d'Antoine Aucagne à Perpignan, mais aussi et surtout Agen, entraîné dans quelques mois par Sébastien Calvet, actuel sélectionneur de l'équipe de France des moins de 20 ans, qui en a fait une priorité.

Une alternative à Carbonel
Selon nos informations, un autre club, de Top 14 cette fois, a récemment manifesté son intérêt. Il s'agit du Stade Français, qui souhaite se renforcer à l'ouverture. Le club parisien rêve du Montpelliérain Louis Carbonel, mais la porte est toujours fermée pour un départ cet été un an avant la fin de son contrat.


Si la situation n'évolue pas, Carbonel restera dans l'Hérault jusqu'en 2025 avant de faire ses valises. Le profil de Louis Foursans plaît à l'encadrement de Laurent Labit et Karim Ghezal à Paris. Cette saison, il a disputé 8 matches, tous en tant que remplaçant (et aucun depuis janvier) avec l'actuel douzième de
Côté montpelliérain, les dirigeants ont multiplié les visios avec des joueurs et des agents sportifs ces dernières semaines, aussi bien à l'étranger. Comme déjà indiqué sur notre site, seul le demi de mêlée de Montauban Alexis Bernadet (22 ans) a donné son accord pour les trois prochaines saisons.

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