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Le comptoir - sur le zing - Les échanges - fourre tout

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 11:39


Roman d'un club : le Racing « show-biz », champion de France il y a trente ans

Les Racingmen Franck Mesnel, Jean-Baptiste Lafond, Philippe Guillard, Éric Blanc et Yvon Rousset, à la source du "rugby show-biz", ont probablement fait vivre au rugby de papa ses plus belles heures. Retour sur une parenthèse enchantée...



On a longtemps cru que les pères du "show-biz" étaient cinq anarchistes des quartiers chics, des fils à papa heureux de secouer l’univers pudique, rustique et poussiéreux du rugby français. L’idée est fausse. Éric Blanc a grandi dans une cité de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Philippe Guillard, né à Fontainebleau (Seine-et-Marne), est un fils de gendarme. Yvon Rousset ? C’est un enfant de Normandie ayant atterri à Paris pour devenir kinésithérapeute. Jean-Baptiste Lafond, lui, a été élevé par sa seule mère, devenue veuve bien trop tôt. Et dans ce quintette qui formait l’essentiel de la ligne de trois-quarts du Racing à la fin des années 80, seul Franck Mesnel, fils d’industriel de Carrières-sur-Seine (Yvelines), est finalement issu de la "haute", comme on dit. "Le Racing, écrit Yvon Rousset dans "Rugby Papillon", était une bourgeoise un peu guindée dont nous avons soulevé les jupons. Nous nous sommes rendu compte qu’elle avait un corps sublime et, finalement, je crois que notre audace l’a amusée." Ces cinq hommes, à l’origine d’une parenthèse enchantée du rugby français, étaient faits pour se rencontrer. "Nous étions des marginaux, sourit Éric Blanc. Au Racing, Robert Paparemborde (leur entraîneur, N.D.L.R.) nous laissait en liberté conditionnelle parce qu’il avait compris que Franck (Mesnel) et Jean-Ba (Lafond) avaient un talent dingue et que l’équipe avait besoin d’eux, pour gagner des matchs. Alors, ouais, nous faisions un peu ce que nous voulions…"



À l’époque, les mecs du "show-biz" n’étaient jamais loin les uns des autres. De leur brainstorming quotidien sortaient les idées les plus folles, dont certaines font encore causer dans le Landerneau du rugby français. Des exemples ? On en compte mille, morte couille. À l’été 86, Yvon Rousset, kiné de son état, reçoit donc Lafond dans son cabinet pour lui prodiguer quelques soins. Au cabinet traîne sur une chaise un béret oublié par un client. "Ce serait bien de jouer avec ça sur la tête", glisse le praticien à l’arrière du Racing. Celui-ci, dont le grand-père fut joueur à l’Aviron bayonnais, lui répond du tac au tac : "Bonne idée. On fera ça à Bayonne." Le 11 janvier 1987, les trois-quarts du Racing débarquent donc sur la pelouse de Saint-Léon (l’ancien nom du stade Jean-Dauger) avec les bérets que leur a achetés Paparemborde, au préalable, provoquant la stupeur du public basque. "Pour bien le porter, expliquait alors très sérieusement Yvon Rousset au journaliste Pierre Salviac

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 13:54


Thomas Lombard répond à la ministre des Sports : «c'est assez violent comme communication»


Interrogé par Le Figaro suite à la déclaration de la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, qui a annoncé que les compétitions de haut niveau pourraient se disputer à huis clos tant qu'un vaccin contre le coronavirus ne sera pas disponible, le directeur général du Stade Français Paris (Top 14) n’a pas caché son inquiétude. «C'est assez violent comme communication pour nous. La pérennité du rugby professionnel repose en totalité sur l'exploitation des stades : retour du public, utilisation des loges, des espaces. Nous, dans le cas particulier du Stade Français, on a aussi l'utilisation du stade, puisqu'on a cette CODP (Convention d'occupation du domaine public) avec la ville de Paris qui nous permet d'exploiter les locaux de manière permanente. Cela passe aussi par des organisations de séminaires ou des choses comme ça. Si les stades sont interdits au public, la situation est intenable», souligne Thomas Lombard.

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 13:56


Morgan Parra : «Au tout début, on s'est dit que ça allait reprendre très vite»

A l'arrêt depuis maintenant trois mois, les championnats de rugby sont encore dans l'incertitude pour une reprise de la saison. Morgan Parra, le demi de mêlée de l'ASM Clermont, s'est exprimé concernant une éventuelle reprise : «Au tout début, on s'est dit que ça allait reprendre très vite (...) Mais on ne sait pas où on en est, on a beaucoup d'incertitudes et surtout, on n'a pas de visibilité. Le plus dur, c'est de se dire voilà, aujourd'hui, on peut se préparer pour telle date et en fin de compte, de s'apercevoir qu'on n'est pas du tout sûrs. On ne sait pas dans quelles conditions on va reprendre, comment on va reprendre (...) Aujourd'hui, si ça reprend à huis clos, un club ne peut pas tourner comme il tournait avant..»., a expliqué l'international français sur France 3 avant d'ajouter être «en train de discuter pour trouver la meilleure solution pour le club et pour nous», concernant une baisse de salaires avec le club auvergnat

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 14:11


Lombard au Figaro : «Dans la tempête, tout le monde doit se retrousser les manches»

Le directeur général du Stade Français revient sur les difficultés rencontrées par le club parisien. Il évoque la question de la baisse des salaires des joueurs mais aussi celle des aides de l’Etat en cas de huis clos.





Comment réagissez-vous à la déclaration de la ministre des Sports, Roxana Maracineanu, qui a annoncé que les compétitions de haut niveau se disputeraient à huis clos tant qu'un vaccin contre le coronavirus ne sera pas disponible ?

Thomas Lombard : C'est assez violent comme communication pour nous. La pérennité du rugby professionnel repose en totalité sur l'exploitation des stades : retour du public, utilisation des loges, des espaces. Nous, dans le cas particulier du Stade Français, on a aussi l'utilisation du stade, puisqu'on a cette CODP (Convention d'occupation du domaine public) avec la ville de Paris qui nous permet d'exploiter les locaux de manière permanente. Cela passe aussi par des organisations de séminaires ou des choses comme ça. Si les stades sont interdits au public, la situation est intenable.

Comment, au Stade Français, préparez-vous la reprise ?

On a prévu de reprendre au début du mois de juin. En respectant toutes les phases, en passant une batterie de tests, que ce soit des tests Covid mais aussi des tests cardiaques. Cela nous permettra d'avoir un certain nombre de garanties sur le risque sanitaire et le fait de savoir si les joueurs peuvent reprendre progressivement. Le problème, c'est qu'on navigue à vue. On est dans l'incapacité de vendre quoi que ce soit, aussi bien en termes d'espaces, de campagnes d'abonnement. Puisqu'on a cette épée de Damoclès concernant les huis clos. La situation est d'une complexité absolue parce qu'au niveau économique, on a un certain nombre de charges qui tombent mais, depuis le 1er mars, on n'a plus aucune rentrée financière. La trésorerie des clubs est limitée. Certes, il y a eu les efforts du gouvernement, on salue la solidarité dont il a fait preuve envers le secteur du sport. On a entamé des négociations salariales avec les joueurs. Mais malgré tout, si on n'a pas rapidement un éclaircissement sur l'utilisation de nos stades, nos revenus seront proches de zéro.


«On a demandé aux joueurs de se focaliser uniquement sur la pratique du rugby, les possibilités et les portes de sortie sont de plus en plus limitées pour eux»

Où en êtes-vous sur les négociations pour une baisse des salaires des joueurs ?

On a fait les choses de manière calme et sans entrer dans une discussion qui aurait pu être conflictuelle. On a présenté la situation : situation Covid, situation globale du club, estimation des pertes avec un retour à la normale au mois de septembre. Les joueurs ont bien compris la donne. Après, eux aussi, ils ont leur problématique, leurs engagements personnels. Ce sont des discussions qui sont longues, parce qu'il y a une difficulté liée à leur dépendance totale au rugby. C'est l'aboutissement d'un système où on a fait de l'ultra-professionnalisation. On a demandé aux joueurs de se focaliser uniquement sur la pratique du rugby, les possibilités et les portes de sortie sont de plus en plus limitées pour eux. Il y a 10-15 ans, les joueurs avaient appris au préalable un métier ou une formation qui leur permettaient d'envisager un avenir avec un peu plus de sérénité. On n'est plus dans ce cas-là. C'est pour ça que les discussions sont longues et difficiles.

Mais ils sont quand même réceptifs face aux difficultés que vous traversez ?

sûr. Ils sont en train de comprendre qu'il y a cette perspective douloureuse d'une diminution des salaires. Mais il y une perspective beaucoup plus importante qui est celle de la sauvegarde des emplois.


«Le Dr Wild observe ça avec beaucoup d'inquiétude. Aujourd'hui, il y a un véritable questionnement sur le changement de cap que doit observer le rugby»

Comme d'autres clubs, le Stade Français est-il en danger ?

On est autant en danger que n'importe quel autre club. Que l'actionnariat soit diversifié ou qu'il repose sur un propriétaire - ce qui est notre cas (avec Hans-Peter Wild, NDLR) -, l'argent vient toujours de quelque part. Quand c'est un financement à perte, sans aucune possibilité d'avoir des revenus à côté, le puits se tarit. C'est une évidence. Certains jugeront qu'il y a une solidité et une rudesse qui est plus forte du côté du Dr Wild par rapport à d'autres clubs. Néanmoins, les pertes sont les mêmes.

Quelle est la position d'Hans-Peter Wild par rapport à cette situation inédite ?

Il observe ça avec beaucoup d'inquiétude. Aujourd'hui, il y a un véritable questionnement sur le changement de cap que doit observer le rugby. Revenir à quelque chose peut-être de moins fragile. Créer un peu de richesse et des actifs pour les clubs, pour qu'il y ait d'autres rentrées d'argent. Peut-être faut-il aussi revenir à un système plus équilibré, avec un retour pourquoi pas au double projet (une formation en plus de la carrière sportive, NDLR). Il y a plusieurs pistes de réflexion. On peut aussi faire entrer d'autres investisseurs, on le voit à l'étranger avec des fonds qui investissent dans le rugby. Maintenant, la problématique restera la même : comment arrive-t-on à créer de la richesse aujourd'hui ?


«Il faudra qu'à un moment, on puisse envisager de fonctionner normalement. Ou alors il faut complètement se réinventer»

Hans-Peter Wild est-il conscient qu'il va encore devoir mettre la main à la poche ?

Il en est conscient. Mais, quand un navire traverse une tempête, il s'en sort grâce à son équipage. Dans la tempête, tout le monde doit se retrousser les manches. Les signaux qui vont être envoyés par l'équipage vont être très importants dans ces moments-là.

Avez-vous une idée du moment où vous allez pouvoir trouver un accord ?

Aujourd'hui, on espère pouvoir conclure dans les jours qui viennent. Après, on a des mesures gouvernementales qui nous permettent de limiter, en partie, la casse pendant encore quelques semaines. Mais ce sont des soins qui ne permettent pas de guérir. Tu mets un pansement et tu attends de voir ce qu'il se passe. C'est palliatif, pas curatif. Il faudra qu'à un moment, on puisse envisager de fonctionner normalement. Ou alors il faut complètement se réinventer. Mais le rugby professionnel en France, c'est quelque chose d'important, qui génère socialement un certain nombre de choses, qui est présent dans des territoires qui ne sont pas forcément de grandes métropoles. C'est le deuxième sport le plus populaire en France derrière le football. On ne parle pas de n'importe quoi. On a aussi une Coupe du monde qui arrive en France en 2023. Le sujet de la sauvegarde du rugby professionnel est important. On a eu une oreille attentive des pouvoirs publics. On a compris qu'avant de demander des choses, il fallait être capable de faire un certain nombre d'efforts. Mais si le pire arrive, à savoir des huis clos ou des stades partiellement remplis, il faudra qu'il y ait d'autres aides qui arrivent de la part du gouvernement. Sinon, on ne tiendra pas...
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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 14:16

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Béziers : une nouvelle étape de franchie dans le dossier du rachat de l'ASBH

Une nouvelle réunion s'est tenue lundi soir entre tous les acteurs du rachat de l'ASBH. Et aux dires de Christophe Dominici : "Elle s'est très bien passée !".


Christophe Dominici, le maire de Béziers, Robert Ménard, Pierre-Olivier Valaize, co-président de l'ASBH avec Cédric Bistué, le promoteur immobilier et principal partenaire financier du club, Louis-Pierre Angelotti, et Mickaël Guedj (président délégué à la communication du club) se sont retrouvé en mairie, ce lundi soir. Une réunion qui a marqué une nouvelle étape dans le rachat de l'ASBH par des investisseurs venus des Emirats Arabes Unis.




Cette réunion s'est très bien passée



Si les deux premières entrevues, qui s'étaient déroulées début mai, entre les investisseurs émiratis et les actuels propriétaires, avaient été pour le moins tendues, "cette réunion s'est très bien passée", insiste Christophe Dominici rencontré par Midi Libre. C'est d'ailleurs le premier rendez-vous auquel assistait l'ancien ailier du XV de France et du Stade français.

Ultime entrevue, jeudi ?

Désormais, les avocats des acheteurs potentiels vont se pencher sur les comptes de l'ASBH. Une nouvelle réunion devrait avoir lieu jeudi matin à Paris. Devraient y participer : les investisseurs émiratis, Robert Ménard et Christophe Dominici. Cette entrevue pourrait être l'étape ultime avant le rachat officiel de l'ASBH. À suivre
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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 15:29

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Depuis le déconfinement, le 11 mai, la planète rugby prépare la reprise. Mais, le spectre du huis-clos sur la saison 2020-2021 fait craindre le pire pour les finances et l’avenir de structures sportives qui reposent en grande partie sur la billetterie et les partenariats.

Tout a débuté en pleine crise du covid 19. Début avril, un rapport de la Direction Nationale d’Aide et de Contrôle de Gestion, alerte la Ligue Nationale de Rugby sur la situation financière des clubs professionnels. Neufs de top 14 et sept de Pro D2 sont dans le collimateur du Gendarme Financier.

En cause des difficultés récurrentes à équilibrer les budgets pourtant bien loins de ceux du football. De 40 pour le stade français à 12,5 millions pour le plus petit budget du championnat.

Contrairement au football où le budget des clubs dépend pour 60 % en moyenne des Droits tv, les clubs de rugby sont tributaires du sponsoring et de la billetterie pour 70 à 80 %.

L’impact de la crise du coronavirus sur ces deux lignes budgétaires cruciales pour la santé des clubs professionnels a de quoi inquiéter les principaux acteurs du secteur.
Perte de sponsors ou baisse de leur participation, moins 30 % à venir selon l’étude de la DNACG d’avril 2020, e huis-clos préconisé par la Ministre des Sports, Roxana Maracineanu, "Sans le vaccin, pas de retour à la normale pour le sport", sont une réelle menace pour le championnat le plus attractif d’Europe : 14 049 spectateurs en moyenne par match après treize journées de championnat (janvier 2020) soit 11 % d’augmentation sur les deux dernières années.
Le modèle économique actuel du rugby hexagonal trop dépendant de l’économie réelle est en danger.
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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 17:05

(voir sujet rugby amateur)


Jacob Botica, frère de Ben, signe à Rennes (Fédérale 1) - Le club breton a recruté Jacob Botica (27 ans), le petit frère Ben, l'ouvreur de l'UBB


À 27 ans, Jacob Botica a connu un parcours plus mouvementé que son jeune frère Ben, bien connu du Top 14 dont il a même été désigné meilleur joueur en 2017/2018. Déjà passé par la France dans les divisions inférieures - Saint-Jean d'Angely (Fédérale 1, 2013-2014), Agen (Pro D2, 2014-2015) et Saint-Médard (Fédérale 1, 2015-2016) - le numéro 10 ou 15 avait ensuite joué au pays de Galles. Il évoluait la saison dernière aux Dragons de Newport, avec notamment cinq feuilles de match en Pro 14 et trois en Challenge Européen. C'est donc à Rennes, en Fédérale 1, qu'il évoluera la saison prochaine.

« On est passé par un réseau d'agents pour trouver un demi d'ouverture et c'est ainsi que nous avons été mis en contact avec Jacob. Il voulait revenir en France et colle à la culture du club qui est celle d'imposer un jeu plutôt ambitieux, basé sur le mouvement, explique l'entraîneur du REC Kevin Courties sur le site officiel du club. C'est un buteur, un attaquant qui cherche à jouer haut sur la ligne, capable de faire jouer ou de garder pour tenter de franchir. Cela nous plaît. Jacob est également un joueur d'expérience qui reste relativement jeune. »

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 17:09


Biarritz: Henry Speight s’éloigne

L’ailier international, Henry Speight (32 ans, 19 sélections), en contacts avancés avec le Biarritz Olympique, pourrait finalement rester en Australie. Sa fédération n’entend pas le libérer pour le moment.

Ce serait un très joli coup de la part de Biarritz. Après avoir notamment recruté le centre international néo-zélandais Francis Saili (29 ans, 2 sélections avec les All Blacks), le club basque espérait frapper fort en recrutant Henry Speight. L’ailier international des Reds et des Wallabies (32 ans, 19 sélections de 2014 à 2017) était en contacts avancés avec le BO, sixième de la saison de Pro D2 achevée prématurément en raison de la pandémie.

Mais pour le moment, selon les informations de RMC Sport, sa fédération n’entend pas le lâcher puisqu’un projet de Super Rugby pour les équipes australiennes pourrait voir le jour début juillet si les conditions sanitaires le permettent, regroupant ainsi les Queensland Reds, les NSW Waratahs, les ACT Brumbies et les Melbourne Rebels et sans doute la Western Force. A Biarritz, on n’a pas encore totalement abandonné l’espoir de recruter Speight mais l’espoir est bien plus mince en l’état.

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 19:22


Top 14: un cahier des charges sanitaires adapté à chaque stade

Afin de recevoir à nouveau du public à la rentrée, les stades de Top 14 devront respecter un cahier des charges précis. Un protocole sanitaire global sera adapté à chaque enceinte.

Le Top 14 pourra-t-il reprendre normalement en septembre? Et avec combien de spectateurs? Pour le moment, les questions demeurent sans réponse définitive. Mais un peu partout, on fait comme si la nouvelle saison allait bel et bien se lancer dans un peu plus de trois mois. Plusieurs clubs ont déjà débuté avec leurs effectifs la première phase de reprise, avec notamment des tests cardiaques mais aussi Covid-19. Quelques cas de joueurs anciennement contaminés ont d’ailleurs été signalés. Tout est mis en place pour respecter les préconisations de la commission médicale avec un travail par petits groupes de trois ou quatre joueurs début juin un peu partout. Avant de monter progressivement en intensité au fil de l’été.

Dans les stades aussi, on se prépare à recevoir du public à la rentrée, et ce même si les déclarations de la Ministre Roxana Maracineanu ont jeté le flou sur les mois à venir, et accessoirement agacé certains dirigeants du rugby français. Le sujet devrait d’ailleurs animer la traditionnelle réunion des présidents demain. Mais un calendrier est prêt. En juin, l’ensemble des clubs va ainsi établir un cahier des charges sanitaires adapté à chaque situation. "C’est un peu comme quand on ouvre un stade avec une commission de sécurité, explique un président. Cette fois, une commission de sanitaire validera avec les Préfets le dispositif avec une jauge aménagée, et non une jauge partielle on espère."

L’idée serait ainsi que l’Etat valide les principes mi-juin avant que chaque stade ne fasse le nécessaire pour réorganiser ses infrastructures pendant l’été avant d’ouvrir en septembre. Tous espèrent qu’ils pourront recevoir au moins 10.000 ou 15.000 personnes à chaque match sinon le rugby français ne s’en sortira pas. "La commission stade la Ligue Nationale de Rugby est en train de travailler sur ce dossier en fonction des règles sanitaires définies par le gouvernement et par la commission médicale, précise le vice-président Alain Tingaud. Ce protocole d’accueil concerne les hospitalités ou la billetterie sèche, et l’accueil du public à l’entrée des stades." Lancée voilà une dizaine jours, cette étude débouchera sur un protocole global adapté à chaque stade, et donc une jauge définie en fonction de ces éléments

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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 19:36

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Top 14 : l'Aviron Bayonnais ambitionne le Top 6 à terme

Un an après le titre de champion de France de Pro D2 et la montée en Top 14, Philippe Tayeb, le président du directoire de l'Aviron Bayonnais Rugby Pro, était l'invité de France Bleu Pays Basque pour parler de l'actualité et des projets du club. Pour l'heure, "tout va bien, mais attention"

Un an après le titre de champion de France de Pro D2 de l'Aviron Bayonnais le 26 mai 2019, son premier depuis 76 ans, et la montée en Top 14, que reste-t-il des retombées sportives et institutionnelles ? La crise du Covid-19 risque-t-elle de tout remettre en question ? Le président du directoire du club bayonnais, Philippe Tayeb, était l'invité de France Bleu Pays Basque ce mardi 26 mai après le journal de 8h. Il fait le bilan et parle des projets d'avenir. Morceaux choisis.



Le titre sur la pénalité de Martin Bustos Moyano

L'émotion


"Quand vous m'en reparlez, j'ai encore des frissons... Qu'est ce qu'il m'en reste ? Pas des souvenirs mais des émotions. Le dernier quart d'heure, j'ai du le regarder 100 fois."

C'est tellement grand ce qu'il s'est passé... et surtout dans les conditions où cela s'est passé, le sang froid de Martin (Bustos Moyano) qui a été plus qu'impérial sur cette dernière pénalité qui n'était vraiment pas évidente, quand vous avez l'avenir d'un club, le titre de champion de France après il courre depuis 76 ans, je trouve que le joueur qu'il est a répondu présent."

La non prolongation du buteur providentiel

Après la finale, l'Aviron Bayonnais n'a pas renouvelé le contrat de l'expérimenté arrière argentin, buteur décisif à de nombreuses reprises pour les ciels et blanc, qui a mis un terme à sa carrière.

"Quand vous êtes président, vous êtes obligé de ramener l'échelle économique dans l'environnement sportif, et c'est peut-être pour cela que le rugby français a de grandes difficultés actuellement. Oui, avoir une belle équipe d'accord, mais finir déficitaire et ne pas pouvoir payer les engagements pris c'est encore plus compliqué. Martin est un joueur qui a été au rendez-vous. Si on avait eu les moyens financiers, peut-être qu'on l'aurait gardé, mais on est obligés de faire des choix, on a fait ceux qui semblaient les plus normales pour la continuité en Top 14."

L'avenir de l'Aviron en Top 14

Un bilan positif pour la première saison


"On finit 9ème malgré l'arrêt brutal. On était repartis sur une belle dynamique. Il faut quand même rappelé qu'on a construit une équipe Top 14 en 3 semaines, l'exercice est très très compliqué (.o..) même si vous avez tous les moyens du monde. Vous pouvez avoir 20, 30 millions devant vous, c'est pas la solution. Vous avez des quotas à respecter de joueurs français."

"Le recrutement était bouclé avant le Covid. Il n'y a qu'une seule recrue qui sera annoncée fin juin, car il y a une clause de confidentialité." Philippe Tayeb reconnaît juste qu'il s'agit d'un trois-quart étranger.

Les salaires

"Il y aura des mesures qui seront prises à l'Aviron Bayonnais. Je n'ai pas tous les éléments. Il y aura un communiqué une fois que j'aurai rencontré mes joueurs, que j'aurai exactement le curseur (sur le niveau de la baisse nécessaire et acceptable). J'ai trouvé très violente l'annonce faite par certains avec des baisses de 30-35%, j'ai entendu des chiffres délirants. Je me mets à la place de mes joueurs qui sont des salariés. Ils ont des engagements financiers, des familles, des emprunts. Je ne suis pas partisan de baisses de salaires brutales."

"Je suis quelqu'un d'ambitieux. Il faut viser le plus haut. Aujourd'hui, si les budgets redescendent et que le notre remonte, il faut viser une place dans les 6. Ce serait la consécration et la récompense de tous les gens qui travaillent autour du club, de tous les gens qui aiment ce club. Je crois qu'on est sur la bonne voie. Il semble que le club a retrouvé de la sérénité, on est en train de travailler sérieusement sur des projets structurels qui sont indispensables pour l'évolution des joueurs, la performance, donc tous les voyants sont au vert. Maintenant il faut que les résultats suivent."

Où en sont les grands projets ? stade et AB Campus

L'enceinte du stade Jean-Dauger


"La pelouse c'est un sujet important parce que vu le climat du Pays Basque on ne peut plus continuer dans ces conditions là. C'est quelque chose qui va se réaliser dans le courant de l'été pour pouvoir être opérationnels, je l'espère, début septembre. Il y aura donc une pelouse hybride."

Pour la tribune, "on est obligés de travailler avec l'actualité, les urgences, et ce qu'il s'est passé. Nous avons abordé à plusieurs reprises la possibilité d'avoir un outil de travail qui nous permette de créer de la richesse et surtout des nouvelles recettes : un parcours client, créer des nouvelles hospitalités pour pouvoir recevoir un public de partenaires beaucoup plus important."

"La DNACG nous dit "Messieurs, le rugby français va être imputé de tant en partenariat, de tant en grand public." et il faut leur démontrer que vous avez des projets qui demain vont amortir cette baisse du chiffre d'affaires. Sinon vous allez devoir adopter des solutions qui ne sont pas agréables en terme de salaires ou de restructuration de votre masse salariale."

Le centre de perfectionnement "AB Campus"

"Il a été l'objet d'un vote à l'unanimité au conseil municipal, il n'y a pas de débat, bien entendu qu'il est gravé. Après, bien sûr qu'il faut que l'on s'adapte à la situation, il y a des priorité qui sont passées devant avec la pelouse hybride pour que les joueurs aient un outil performant."

"On est à peu près dans ces ordres de budget (12-13 millions d'euros, ndlr). Il y a du financement public et une partie également privée. Il y aura sûrement un emprunt, ça passer quand même au vote des actionnaires du club à notre prochaine assemblée générale. Dans un moment comme aujourd'hui, il faut avoir un élan de solidarité. Le club et ses actionnaires sont en recherche de ressources et de revenus, ce qu'est aussi AB Campus pour le club. On ne peut pas tout le temps demander des contributions publiques., surtout en ce moment."

La situation financière de l'Aviron

"L'atterrissage de la saison 2019-20 est excellent sur l'apect financier. Oui, on a été accompagnés par l'Etat, perfusés. On ne sait pas comment on va être accompagnés demain. Si on doit jouer à huis clos ou devant 5.000 personne ou un grand public, ce n'est pas du tout le même schéma."


"Aujourd'hui, il faut faire très attention parce que l'économie du rugby est très très fragile, surtout que le schéma de l'Aviron Bayonnais ce n'est pas un mécène, c'est des familles du Pays Basque qui ont sauvé le club il y a 2 ans, une économie compliquée actuellement. Il n'y a pas de milliardaire, de gens qui peuvent injecter 5, 6, 10 millions comme certains clubs. Ce n'est pas notre schéma et je crois qu'il faut que l'on préserve cette nature et l'image du club."

"On ne sait pas demain comment va réagir le marché du partenariat, le marché du grand public. On a sondé nos partenaires, on les a tous appelés. Bien entendu qu'il y en a qui vont devoir prendre des mesures et notamment sauver leur entreprise, et après penser à l'Aviron. On va avoir les premières réunions avec les associations de supporters. Tout le monde est fidèle à ce club. Il y aura des baisses de partenariat, peut-être qu'il y aura de nouveaux partenaires, peut-être qu'il y aura plus de grand public parce que cet été il n'y aura pas grand chose."

La crise va-t-elle rebattre les cartes ?

"C'est une certitude. Le schéma que l'on doit construire à l'Aviron, les projets que l'on doit réaliser vont nous permettre de créer de nouvelles richesses qui vont nous permettre d'arriver à des budgets de 21, 22 millions. C'est l'objectif à 3 ans. Les gros budgets sont en train de redescendre et peut-être qu'on pourra un jour envisager de partir sur la même ligne de départ. Ce serait un rêve."


"On est quand même tous des festayres, on aime la fête. Il n'y aura pas Pampelune, il n'y aura pas les Fêtes de Bayonne, les fêtes de village, tous ces rassemblement. Je crois que demain, l'Aviron Bayonnais va être un peu le réceptacle de tout ce manque de fêtes et de retrouvailles. Au mois de septembre, si les mesures sanitaires nous le permettent, on sera là pour redonner du lien."

Jouer à huis clos ?

"Les dates sont arrêtées avec une reprise du championnat le 5 septembre. Après, sous quelles conditions ? L'ensemble des présidents a été unanime, le rugby français et le rugby mondial ne peuvent pas se permettre de jouer à huis clos, ou alors il faudra avoir un soutien financier de l'Etat.

Aujourd'hui, 70% des recettes d'un club, c'est les partenariats, c'est le merchandising, le grand public, les abonnés. Si demain on a pas la possibilité de rentrer, nos amoureux, abonnés et partenaires, dans le stade ce sera très compliqué. Personne ne pourra tenir vu l'économie des clubs. On n'est pas articulés comme le foot avec des droits télés conséquents."


"J'ai oeuvré et j'ai exprimé cette hypothèse depuis le début, après on m'a dit que ce n'était pas possible parce qu'il y a un calendrier international, des coupes d'Europe, il faut que le rugby reprenne... mais si nous ne sommes pas accompagnés par l'Etat sur ce schéma là, financièrement les clubs ne pourront pas tenir. On ne peut reprendre sans public, ce n'est pas envisageable."

La reprise de l'entrainement

"La semaine prochaine, on va commencer à tester tous nos joueurs, toutes les semaines. On fera au mois de juin un travail de réathlétisation. On a des joueurs qui n'ont pas couru depuis 3 mois, il faut faire très attention, on a un risque très important de blessures. Les joueurs vont reprendre petit à petit pour peut-être avoir une activité totale au mois de juillet pour pouvoir commencer les matchs amicaux le 14 août contre la Section Paloise."

Où se joueront les matchs amicaux ?

"Contre Agen (le 21 août) et Bègles-Bordeaux (le 28) on n'a pas encore arrêté. Pour le 14 (contre Pau), se profilerait le stade Antoine-Béguère à Lourdes, étant donné que notre équipe y sera en stage pendant 4-5 jours. J'espère pouvoir organiser un bel événement pour nos partenaires, nos supporters, sur une journée qui va nous permettre de nous retrouver autour d'éléments culturels catholiques dans la ville de Lourdes."
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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 20:40

Béziers: Dominici travaille déjà sur le recrutement

INFO RMC SPORT. Même s’il n’a pas (encore) repris le club de Béziers, Christophe Dominici multiplie les contacts pour s’attacher les services de plusieurs joueurs et entraineurs pour la saison prochaine. La méthode étonne.


C’est encore mieux qu’une série sur Netflix. A chaque jour son nouveau feuilleton. Et son lot de rumeurs. Le pitch: Christophe Dominici et des investisseurs emiratis souhaitent prendre le contrôle du club de Béziers, en Pro D2. Ils sont même entrés en négociations exclusives après le dîner de travail de lundi soir à Béziers, réunissant le maire Robert Ménard et les différents protagonistes. Des garanties bancaires auraient été apportées avec 10 millions d’euros placés sur un compte séquestre. "Je ne les ai pas vus", nous a cependant affirmé le Maire Robert Ménard. La soirée de lundi aura au moins permis de renouer le dialogue entre les deux parties.

Dans le discours qu’il tient à tous ses interlocuteurs, l’ancien international (48 ans, 67 sélections) ne laisse pas de place au doute: ce n’est plus qu’une question de jours avant que l’opération ne soit finalisée. Dans l’entourage du club biterrois, on se montre pourtant plus prudent. Mais aussi lassé par ces dernières semaines éprouvantes pour les nerfs. Et dans le monde du rugby, beaucoup suivent quotidiennement les évolutions avec un scepticisme prononcé. "Il n’a pas intérêt à se rater, sinon il est grillé sans avoir eu une affaire", voilà ce que beaucoup nous disent au sujet de Dominici.

L’intéressé, lui, est sûr de lui. A tel point qu’il travaille déjà sur le recrutement de la saison à venir. Selon nos informations, il a même concrètement contacté plusieurs agents ces derniers jours pour évoquer de potentielles recrues de renom. Des éléments libres, aussi bien français qu’étrangers, sont sur le marché après la pandémie. De Benjamin Fall à Alexis Palisson en passant par Ben Te'o ou Maks Van Dyk, la liste est longue. Dominici voudrait frapper fort pour renforcer le club dont il n’est pas encore le patron. La méthode étonne. "Il a mis le costume avant d’avoir repris le club", nous dit-on. "Il veut renverser la table", selon une autre source.

Nouvelle réunion jeudi à Paris

Chez les managers, là aussi, le vice-champion du monde 1999 voit grand. Des techniciens comme le Toulousain Ugo Mola ou le Clermontois Franck Azéma, bien que sous contrat, le font rêver. L’inverse est moins vrai. Car aller à Béziers dans un tel contexte n’est pas imaginable aujourd’hui. D’autres noms, dont celui de son ancien partenaire Richard Dourthe, circulent en coulisses alors qu’un staff est déjà en place. Accessoirement une équipe dirigeante aussi… Au moins jusqu’à jeudi matin et une nouvelle réunion à Paris à laquelle les actuels propriétaires ont été priés de se rendre par le Maire qui fera lui aussi le déplacement.

Car encore une fois, la vente n’est pas bouclée. D’ici là, les conseils des deux parties vont avoir du travail. Si des dettes "cachées" devaient apparaître à l'examen des documents comptables et que leur montant soit important, ce serait de nature à dissuader les nouveaux investisseurs d'aller plus avant dans leur projet. A l’inverse, certains doutent encore des ressources financières de ces éventuels repreneurs. "Il m’a dit qu’ils ont de l’argent mais je ne s’en sais pas plus", raconte un proche de Dominici. Il faudra de toute façon rassurer aussi bien avant qu’après la vente probable du club. "Est-ce que les mecs derrière lui sont crédibles, s’interroge un proche du club. Il ne faudrait pas que ça soit la dégringolade après…" Le feuilleton est encore loin d’être terminé.




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Message par Le Prez Mar 26 Mai 2020 - 22:19


Ménard sur le rachat de Béziers : «Le dossier finalisé à 99% ? Je serais plus prudent»

L’ASBH tout proche de passer sous pavillon émirati ? C’est la tendance. Si bien que Christophe Dominici, qui porte le projet, travaillerait déjà au recrutement du club héraultais, comme le rapporte RMC Sport… Interrogé par cette même station de radio, Robert Ménard préfère temporiser. «On a mis la charrue avant les bœufs, promet le Maire de Béziers, sur RMC. Il faut toujours passer par des avocats qui vous garantissent la confidentialité de tous les documents que vous fournissez à la partie avec laquelle vous discutez. C’est rassurant pour les uns et les autres. Il fallait faire ça, cela n’a pas été le cas. C’est désormais reparti dans le bon sens. Ça ne veut pas dire que ça va se faire mais voilà où on en est.» Et de résumer : «J’ai lu que le dossier était finalisé à 99%, pour ma part je serais plus prudent.» Après celle de ce lundi, une nouvelle réunion est prévue jeudi prochain.

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Message par Le Prez Mer 27 Mai 2020 - 8:39


Une coupe du monde de rugby au Royaume-Uni et en Irlande lors de l’été 2021 ?

Le projet est révélé par le Daily Telegraph. Un tournoi sur invitation avec 16 équipes (dont le XV de France) en juin et juillet 2021 dont les bénéfices serviraient à renflouer les fédérations et les ligues professionnelles durement touchées par la crise du coronavirus.

Ça n’a rien d’une lubie. A en croire le Daily Telegraph, le projet est même très sérieux, a reçu l’aval de World Rugby et des quatre fédérations concernées (Angleterre, Irlande, Galles, Ecosse). Il est d’ailleurs conçu par une pointure, Francis Baron, l'ancien directeur général de la RFU (la Fédé anglaise), aux manettes en 2015 lors de la Coupe du monde.

Ce projet ? Un tournoi façon Coupe du Monde qui se déroulerait dans des stades au Royaume-Uni et en Irlande, en juin et juillet 2021. Avec seize sélections nationales invitées : l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, l'Argentine, le Japon, l'Angleterre, la France, le Pays de Galles, l'Irlande, l'Écosse, l'Italie, les Fidji, les Samoa, les Tonga, les États-Unis et le Canada.

31 matches sur six semaines en juin et juillet 2021

Son but ? Récolter des fonds pour venir en aide aux fédérations, mais aussi aux ligues professionnelles, en grand danger de faillite avec la crise du coronavirus. Pour des recettes estimées entre 230 et 280 millions d’euros. Une compétition qui a un nom de code provisoire : la Coronavirus Cup of World Rugby. Ce tournoi proposera 31 matches sur six semaines. Et entraînera le report de la tournée des Lions britanniques et irlandais en Afrique du Sud de juillet 2021 à l'été 2022.

Francis Baron, qui avait dirigé la candidature de la RFU pour accueillir la Coupe du monde de 2015, justifie cette compétition inédite par la situation… inédite. «A crise exceptionnelle, mesures exceptionnelles», a t-il confié au quotidien anglais, assurant que «100% des bénéfices seraient reversées aux fédérations pour soutenir le rugby amateur et professionnel». Cet argent serait d’ailleurs administré par un organisme indépendant et non par World Rugby. «Vu tous les défis financiers dramatiques à relever, il s'agit d'un plan audacieux et ambitieux pour lever de grosses sommes dont tout le rugby sera le bénéficiaire.»


«Le potentiel tsunami financier pourrait balayer de nombreuses fédérations et de nombreux clubs» Francis Baron, initiateur du projet

Pour mener à bien ce plan de sauvegarde, Francis Baron affirme que son tournoi ne connaîtra qu’une édition et qu’il n’entre surtout pas dans le cadre des négociations actuellement menées par World Rugby pour convaincre Fédérations et clubs d’aligner le calendrier international entre le Nord et le Sud, de le remanier avec de nouveaux rendez-vous (suppression des tournées d’été, création d’une coupe des nations annuelles en octobre-novembre…). Une restructuration qui ne serait pas une priorité pour Francis Baron étant donné le «potentiel tsunami financier qui pourrait balayer de nombreuses fédérations et de nombreux clubs».

L’alignement du calendrier «doit être gelé jusqu'à ce que la bataille contre le virus soit gagnée, insiste l’ex-patron de la RFU. La seule priorité devrait être de fournir un soutien financier à tous les niveaux du rugby mondial. Lorsque la maison est en feu, la priorité n’est pas de discuter sur les modifications de la décoration du salon.»

Si ce projet semble fou, qu’il risque de ne pas plaire aux présidents du Top 14, voire de Premiership anglaise, sa vocation de récolter des liquidités pour assurer la survie du rugby dans son ensemble pourrait finalement rallier tout le monde ou presque à sa cause. «Le temps est court mais nous pouvons le faire, insiste Baron. Pour utiliser un célèbre dicton utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale, ce qu'il faut, c'est "agir ce jour"».

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Message par Le Prez Mer 27 Mai 2020 - 10:35

La Western Force intégrée au « Super Rugby australien »

Évincée du Super Rugby en 2017, la Western Force va participer à une version australienne de la compétition avec les Waratahs, les Rebels, les Reds et les Brumbies.

Les contours de la compétition australienne regroupant les franchises engagées en Super Rugby se précisent. Le modèle devrait être calqué sur celui de la Nouvelle-Zélande, où le mini-championnat doit débuter le 13 juin pour combler la suspension du Super Rugby due à la pandémie de Covid-19. En Australie, le Championnat regroupera donc les Waratahs, les Rebels, les Reds, les Brumbies et, c'est désormais officiel, la Western Force, basée à Perth. Cette dernière ne participe plus au Super Rugby depuis 2017, mais va pouvoir affronter certains de ses anciens adversaires dans le championnat de l'hémisphère Sud.


La présence des Sunwolves du Japon n'est pas encore totalement exclue et la compétition devrait se dérouler du 3 juillet au 19 septembre. « Le retour de la Western Force dans une compétition basée en Australie est une belle histoire, a déclaré le nouveau président de la Fédération australienne, Hamish McLennan. (Son éviction) avait été douloureuse pour les fans de sport en Australie-Occidentale (État de l'ouest australien, N.D.L.R.) et les joueurs de la Force. Nos derbies australiens sont toujours les plus populaires chaque saison et ce sera formidable de voir ces rivalités s'enflammer à nouveau dans une compétition nationale. »

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Message par Le Prez Mer 27 Mai 2020 - 11:34

Mario Ledesma « admiratif » du parcours de Mignoni, Reggiardo, Mola et Urios


Le sélectionneur de l'Argentine, qui était en France début mars avant le début de la crise sanitaire, a eu l'occasion de recroiser et d'échanger avec d'anciens coéquipiers comme Pierre Mignoni, Mauricio Reggiardo ou Ugo Mola.

Début Mars, lors de sa visite en France écourtée par la mise en place du confinement dû à la crise sanitaire, Mario Ledesma s'est entretenu avec plusieurs Pumas exilés en France et qu'il veut suivre de près. Ses déplacements ont permis au sélectionneur des Pumas (47 ans) de revoir d'anciens coéquipiers, devenus entraîneurs, côtoyés au cours de ses dix saisons en Top 16 et Top 14 (2001-2011). « Je suis admiratif de leurs parcours, ils ont beaucoup de succès », souligne l'ancien talonneur de Clermont-Ferrand (2005-2011).

À Lyon, où il a rendu visite à Patricio Fernandez et Francisco Gomez-Kodela, le Sud-Américain a revu Pierre Mignoni, fréquenté à l'ASM entre 2005 et 2009. « Pierrot, je ne l'avais plus vu depuis un moment. Il a été plusieurs fois champion avec Toulon, il a eu le culot et la conviction de bâtir ce projet au LOU. Je suis très admiratif du ''nain''. J'ai aussi rencontré son président, M. Roubert, et on sent une communion, un travail collectif. Tout le monde est aligné. »

« Toulouse a un jeu plaisant, qui exprime les propres convictions d'Ugo. Pour un entraîneur, c'est important et symbolique qu'une équipe te ressemble »

À Castres et Toulouse, où des rendez-vous avaient été fixés avec Benjamin Urdapilleta et Ignacio Calles, « Super Mario » a pu voir Mauricio Reggiardo (entraîneur de Castres) et Ugo Mola (manager de Toulouse) ex-partenaires au CO (2003-2005). Le premier a aussi été son entraîneur, en charge des avants, chez les Pumas (2008-2011). La relation avec Mola est née dans le Tarn il y a quinze ans. « Avec Ugo, on est toujours resté en contact, affirme Ledesma. Quand il a commencé à entraîner, quand il a connu sa traversée du désert qui, je crois, a été très bénéfique pour lui. Il est revenu au Stade, a connu les changements de génération de joueurs, et il a bouclé la dernière saison en apothéose avec le Brennus. Toulouse a un jeu plaisant, qui exprime les propres convictions d'Ugo. Pour un entraîneur, c'est important et symbolique qu'une équipe te ressemble. »


Enfin, à Bègles, où il s'est entretenu avec Santiago Cordero, le sélectionneur argentin a revu, avec grand plaisir, Christophe Urios, celui qui fut son entraîneur deux saisons à Castres entre 2003 et 2005. « Je salue la réussite de Christophe, qui a connu beaucoup de succès dans des clubs différents, a déclaré Ledesma. Avec lui, j'ai notamment vécu une très belle saison au CO. À l'époque, il était sur le dos des joueurs, et on faisait énormément de contacts à l'entraînement. Et aujourd'hui, il est très différent. Là encore, je suis admiratif de la manière dont il a fait évoluer sa fonction, son management, l'emprise qu'il a sur le terrain. Il laisse davantage agir ses assistants, je l'ai constaté. Il a beaucoup évolué et on voit ses résultats... »

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